Le terme « meilleure ennemie » n’a certainement jamais été aussi justifié que pour la cigarette. La clope, comme les fumeurs l’appelle presque avec affection, est une compagne, une béquille pour traverser le quotidien dans les mauvais mais aussi les bons moments. Evidemment on a envie d’arrêter de fumer car on entend les publicités de lutte contre le tabagisme et le fumeur connait les méfaits du tabac : toux, perte d’odorat, infertilité, risques cardio-vasculaires et d’infarctus du myocarde, cancer du poumon…
Et puis un jour, on prend conscience de la réalité. Fumer est une mauvaise habitude, extrêmement nocive pour notre santé et, parfois même, nos relations sociales. En effet, l’image des fumeurs est aujourd’hui différente mais surtout plus négative. Alors qu’il y a quelques années fumer était considéré comme « cool » ou branché, la cigarette est maintenant perçue comme un manque de volonté et les fumeurs se retrouvent mis à l’écart, notamment dans les lieux publics.
D’ailleurs, peut-être avez-vous pris la GRANDE décision alors que vous fumiez, grelottant en plein hiver, sur un trottoir devant un bar ou un restaurant.
Ma dernière cigarette
Evidemment, chaque fumeur a une histoire et une relation au tabac différente mais voici un scénario que nous rencontrons très fréquemment chez nos clients.
Une fois que la décision d’arrêter de fumer est prise, on cherche alors des conseils pour arrêter de fumer. Certains se disent que seule la motivation compte et décident de cesser de fumer sans prendre de traitement de substitution ni se faire aider. D’autres se rendent chez leur médecin traitant qui les alerte depuis toujours sur les dangers du tabac, ou même un tabacologue, qui prescrit des comprimés ou des substituts nicotiniques, patch, pastilles, gomme à mâcher, pour arrêter de fumer. Confiant et motivé, vous écrasez votre dernière cigarette, écrasez votre dernier paquet de cigarettes et vous avez un mantra NE PAS FUMER.
Fort de votre décision de ne plus fumer, vous passez haut la main le défi du premier jour de sevrage tabagique et vous dites à qui veut l‘entendre « J’ai arrêté de fumer ». Bien sûr, vous êtes accro alors la tentation est là. Mais vous respectez les consignes et vous prenez un verre d’eau pour éviter de craquer et pour penser à autre chose.
La première semaine vous ressentez fortement les effets secondaires du sevrage. Votre accoutumance se rappelle à vous régulièrement. Troubles du sommeil, déprime, vous êtes nerveux ou nerveuse mais vous luttez contre l’envie de fumer. Vous commencez à faire du sport pour ne pas rechuter et vous tentez de ne pas vous jeter sur la bouffe, malgré un appétit de loup, de peur de prendre des kilos. Bref, vous RÉSISTEZ.
Au bout des 2 ou 3 premiers mois, vous vous sentiez libéré de l’emprise du tabac, vous ne ressentiez plus le manque de nicotine. Alors vous avez repris une vie normale, vous êtes ressorti avec vos amis… Et un jour, la catastrophe, vous vous sentez fort et même indestructible tel un super héros et vous reprenez une « taf ». Commence alors la rechute car cette simple taf mènera quelques jours après à une cigarette puis deux et finalement, on entre dans un bureau de tabac et on achète un paquet. Alors tout recommence.
Peut-être même avez-vous fait plusieurs tentatives et vous vous demandez comment arrêter de fumer et si vous en êtes capable ?
Qu’est-ce que la dépendance au tabac ?
Ce ou ces tentatives manquées ne sont pas votre faute et il ne faut surtout pas les vivre comme un échec mais plutôt un moyen d’apprendre pour recommencer et cette fois atteindre votre objectif. Il faut comprendre que la dépendance à la cigarette se joue à deux principaux niveaux. Il y a la dépendance physique à la nicotine mais aussi la dépendance psychologique.
Les méthodes classiques de sevrage tabagique se focalisent essentiellement sur le traitement de la dépendance physique. Que ce soit par la simple volonté, en réduisant la consommation ou par le biais de substituts comme les chewing-gums à la nicotine ou la cigarette électronique, ces méthodes ne traitent que le manque physique. Mais l’addiction au tabac c’est aussi et surtout la dépendance comportementale et psychologiques.
En effet, après des années de tabagisme votre inconscient a assimilé la cigarette à une habitude agréable ou une béquille nécessaire dans certaines situations. Sortir entre amis, se concentrer, gérer les moments de stress, bref la cigarette vous aide au quotidien. Elle est donc « considérée » positive pour vous. Alors, même si au niveau conscient de votre cerveau vous savez pertinemment que les effets du tabac sont néfastes, votre inconscient, lui, pense que fumer est bon pour vous. Pire, lorsque vous décidez de cesser de fumer, votre inconscient va vous envoyer des messages pour vous encourager à fumer en réponse au stress que vous ressentez.
La motivation est-elle suffisante ?
La motivation seule peut vous permettre de vous débarrasser de votre addiction physique au tabac même sans aide au sevrage tabagique. En effet, en 3 semaines environ, votre corps ne ressentira plus le manque de nicotine. Ainsi vous aurez vaincu la dépendance physique. Néanmoins, les risques de rechute sont extrêmement importants car les réflexes comportementaux subsistent et la seule volonté ne permet pas toujours de prévenir et de gérer les situations à risque et les pièges de la tentation qui se présentent régulièrement sur le chemin des anciens fumeurs.
Quelles méthodes pour arrêter de fumer sont les plus efficaces ?
Méthode de substitution, soutien psychologique par les thérapies comportementales et cognitives, médecine douce, acupuncture et auriculothérapie, hypnose autant de stratégies possibles et variées à disposition des fumeurs pour les aider à atteindre leur objectif.
Il existe donc une grande variété de traitements ou thérapies pour arrêter de fumer. Certaines présentent des taux de réussite supérieures aux autres mais il est difficile de dire quelle méthode pour arrêter de fumer est la plus efficace.
Cependant, notre longue expérience du sevrage tabagique par l’hypnose, nous a permis de mieux appréhender les rouages et les mécanismes qui entrent en jeu lorsque l’on cesse de fumer. Nous avons tout particulièrement compris l’importance de combiner des méthodes complémentaires pour obtenir de meilleurs résultats, à savoir un arrêt simple, rapide et surtout définitif de la cigarette.
Les avantages de la méthode Hypnose 360
L’addiction au tabac n’est pas une fatalité. Hypnothérapeutes reconnus, nous avons développé Hypnose 360 pour aider à arrêter de fumer tous ceux qui souhaitent devenir des non-fumeurs heureux de l’être et pour de bon.
Notre méthode vous permet d’arrêter de fumer facilement et définitivement sans subir les effets secondaires du sevrage et notamment la prise de poids, les insomnies ou l’irritabilité. Grâce à elle vous gagnerez une plus grande autonomie dans la compréhension de vos croyances limitatives qui vous aidera à résoudre certains blocages.
Ne faites pas de vos tentatives avortées un échec ou une fatalité. Contactez-nous et nous vous aideront à dire non pour toujours à la cigarette.
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